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Au début du mois d'avril, La Découverte publiera la traduction du nouveau livre de Branko Milanovic, Le Capitalisme, sans rival. Dans cet ouvrage, l'auteur oppose le capitalisme « libéral » (principalement anglo-saxon) et le capitalisme « politique » (principalement chinois).

Bien qu'il déploie par ailleurs une typologie plus détaillée, rendant compte de ce que l'on appelle souvent la « variété des capitalismes », ce qui frappe dans cette opposition est l'occultation de la voie social-démocrate. 

L'ouvrage Économie du travail et de l'emploi de Bernard Gazier et Héloïse Petit a reçu la Mention d'honneur du 33^e Grand Prix Turgot, prix qui récompense le meilleur livre d'économie financière. La remise des prix s'est faite à Bercy sous le haut parainage de Bruno Le Maire.

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Françoise Battagliola, le 27 décembre 2019 à Paris.  

Marlaine Cacouault, Anne-Marie Devreux, Michèle Ferrand et Delphine Naudier rendent hommage à la sociologue, auteure du Repères Histoire du travail des femmes.

À l'occasion de la parution du Repères « Les limites planétaires », Aurélien Boutaud et Natacha Gondran ont signé une tribune pour le journal Reporterre en faveur d'une politique d'urgence climatique. À lire ici. 

Natacha Gondran était par ailleurs l'invitée du podcast Demain Matin pour présenter cet ouvrage.  À écouter ici. 

Dès 1950, Jacques Ellul alertait sur les potentielles dérives du progrès technique. Patrick Chastenet, auteur du Repères Introduction à Jacques Ellul, a accordé un entretien pour en parler à TV7 Bordeaux. 

« Cet ouvrage magistral donne les clés d’accès à l’oeuvre de Jacques Ellul, l’un des penseurs français les plus originaux et prolifiques du siècle dernier et dont l’actualité du nôtre confirme le caractère prophétique. » (Ecologie & Politique) 

À écouter : une rencontre avec Patrick Chastenet à la librairie Mollat et un entretien pour le podcast TechClash. 

L’un des paradoxes de cette période de confinement, qui nous a séparé(e)s, est que nous avons pris des nouvelles de personnes auxquelles nous pensions, mais sans nécessairement leur faire savoir. Les lecteurs les plus fidèles des « Repères » formant comme une famille (très) élargie, nous espérons que vous allez aussi bien que possible.

Cela a été répété, cette crise est à la fois un révélateur des inégalités, d’abord entre le « front » et l’arrière, et un accélérateur de processus antérieurs, dont le capitalisme numérique.

Bien que plusieurs fois sollicité, Philippe Frémeaux, que nous connaissions depuis quarante ans, n'était pas un auteur « Repères ». Mais nous nous associons à l'hommage qui lui est justement rendu, en provenance de multiples horizons. Il ne nous revient pas ici de rappeler ses qualités humaines, ou ce qu'il a accompli en faveur de l'économie sociale et solidaire. Il suffit de noter, car c'est rare, que son action ne trahissait pas ce qu'il disait ou écrivait.

Nous pouvons en revanche mettre l'accent sur ce qu'il a réussi, aux côtés de Denis Clerc, avec Alternatives économiques. En effet, à quelques années près, ce magazine est né en même temps que la collection « Repères », au début des années 1980. Les moyens, les auteurs, les statuts des textes étaient différents, mais les fonctions étaient complémentaires.

L'équipe de la collection Repères vous souhaite à toutes et à tous une belle année 2021 !

Une année qui démarre sous le sceau de l'incertitude mais aussi de l'espoir comme nous le rappellent les mots chaleureux de Pascal Combemale.

Avec deux premiers titres parus en janvier, la collection reste à vos côtés, en librairie ou sur Cairn.

En cette fin septembre, Pascal Combemale, directeur de la collection « Repères » prend la plume, rentrée des classes oblige, pour s'adresser aux fidèles lecteurs de la collection...

Entre actualité et actualisation des savoirs, il y a toujours un livre de la collection « Repères » adapté à la situation...

Ce (re)confinement est l’occasion de se plonger dans la filmographie de Clint Eastwood. Mais pas sans avoir l’éclairage du sociologue Jean-Louis Fabiani sur ce célèbre acteur et réalisateur. À travers le livre Clint Eastwood, il analyse l’ambivalence de son œuvre qui lui donne son caractère ouvert, susceptible d’appropriations multiples et contradictoires.

 Vincent Berthelier écrit dans Le Grand continent « Le livre de Fabiani parvient de façon remarquablement synthétique à rendre compte d’un objet culturel aux contours nettement délimités, de ses appropriations politiques et idéologiques par des publics socialement différenciés, de son contenu esthétique propre, en même temps que des déterminations extérieures qui ont présidé à sa création ».